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Projets en cours

Nous sommes basés à 70 km au nord de Lusaka, nos projets s'étendent sur une superficie de plus de 12.000km2.

A - Réalisations en cours à terminer en 2014

- 1 petit hôpital de Muchinga
- 6 écoles à terminer (principalement des toits)
- 3 maison de professeurs
- 1 maison d'infirmières
- Agricenter de Mwashisompola
- Scolarité individuelle de jeunes étudiants (3 trimestres)

B - Projets récurrants ou à plus long terme

- 2 orphelinats à rendre autonome

Comme pour toutes les autres réalisations, ces 2 orphelinats doivent atteindre l'autonomie pour que nous puissions les laisser seuls, sachant subvenir à leurs besoins, avec une gestion adaptée et mener à bien l'éducation des enfants dont ils ont la charge

- 1 centre pour enfants handicapés

L'initiatrice de ce projet est Mrs Esther Mwimo.
Situé le long de la Great North Road, à 60 km de Lusaka, dans la localité de Fringilla, ce centre accueillera des enfants handicapés moteurs (cerebral PALSY)

Une fondation belge très généreuse nous a financé il y a 5 ans tous les fondements de ce projet d'envergure :

- Achat du terrain (6 Ha) dont nous avons le titre de propriété
- Système de traitement des eaux usées
- Raccordé à l'électricité (achat d'un puissant relais transformateur)
- Forage d'un puits
- Entièrement clôturé et sécurisé
- Déjà une maison construite
- Inauguré par le Président zambien Kenneth Kaunda
- Actuellement, en associationa avec des fonds norvégiens, nous achevons le bâtiment central qui acceuillera les enfants en traitement de jour.

La coordinatrice de ce projet, Esther Mwima, a déjà séjourné en Belgique, avec son fils Themba, pour participer à une conférence mondiale sur le thème de l'infirmité motrice cérébrale.
C'est pour son fils Themba qu'elle consacre sa vie à ce projet MYCEPA et aux enfants handicapés moteurs. En effet, Themba, 23 ans, est atteint de ce handicap et est paraplégique, faute de thérapie adaptée.
Ce tandem mère-fils est admirable, uni par la même vision de réussir ce centre qui aidera tant d'autres enfants et leurs familles. D'où son idée de créer un jour son propre centre ! Esther est une femme courageuse, rien ne l'arrête. Themba quant à lui vient de terminer avec succès ses études de journalisme ! Son élocution est un peu difficile, cela ne l'empêche pas de parler à des conférences, à la radio de Lusaka, (avec laquelle il a organisé des marches parrainées, et d'autres événements pour récolter des fonds).

Esther souhaite mettre sur pied une bibliothèque. Nous cherchons donc des livres aussi bien pour les enfants que les adultes en anglais !

C - Projets récurrants

- Scolarité individuelle de jeunes étudiants (20 € par jeune et par mois ne primaire)

Dans La scolarité n'est pas gratuite, même dans les écoles gouvernementales, même en primaire (school fees, souliers, uniformes, livres) C'est un frein pour certains jeunes et leurs familles. La demande est importante à tous les niveaux, tant primaires que secondaires, que supérieurs, pour les garçons et les filles.

- Semances et engrais (3000 €)

Dans les villages, c'est souvent le profit que les femmes font sur leurs récoltes qui permet de financer la scolarité de leurs enfants à charge (y compris les orphelins qu'elles recueillent).
La meilleure façon de les soutenir c'est de leur procurer plus de semences pour pouvoir produire davantage et vendre un surplus plus important.

- Puits (2800 €)

Dans la façon classique dont les projets nous sont présentés, la construction d'une école arrive toujours en premier.
En second nous avons toujours le puits, d'abord à côté d'une école, ensuite dans un village voisin.Ce sont toujours les femmes et jeunes filles, parfois des enfants, qui portent l'eau sur leur tête, plusieurs fois par jour. Quand le trajet est long, c'est fastidieux et dur physiquement, et une grande perte de temps.
En répondant à une population villageoise qui en fait la demande, une école et un puits, puis un moulin à grains, nous pouvons apporter un confort qui donne des raisons de rester sur sa terre plutôt que de partir en ville.
Un puits de proximité permet aussi la culture maraichère tout au long de l'année, donc un apport en vitamines ; ainsi que le petit élevage.

D - Autres demandes

Actuellement nous avons des demandes précises pour :

1 magasin pour le club des femmes du village de Muchinga, là où nous construisons un centre de santé, pour pouvoir vendre leur production de légumes et épicerie. Les familles des patients doivent aussi se nourrir et cuisiner sur place.

- Vu les distances à parcourir actuellement pour avoir accès à des soins de santé
- 1 dispensaire de 4 lits dans le village de Katole
- 1 dispensaire de 4 lits dans le village de Chilonga

- 1 marché couvert dans le village de Chilonga, demande émannant des femmes de ce village. Elles nous demandent des échoppes couvertes pour couvrir 5 à 10 emplacements, afin d'y vendre leur production maraichères.